19 avril 2012
Brouillon de départ
Aux cicatrices éternellement renouvelées
J'ai ouvert ton nom comme un trésor oublié
Ton visage est mon coeur entre des mains
Dans ma nuque des oiseaux messagers
Tu n'avais pas de mots à cacher
Je n'avais pas de lendemains
J'ai reculé pour ne plus voir
Tes yeux se perdre
Tes lèvres se fendre
Et ton dos se tourner
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