A la fin de tout

De nos fossés, il restera les ossements empilés, les gravats, les fleurs frêles au violet pâle qui poussent entre les décombres. Nos frontières, creusées à même le sol, ne contiennent que des restes, des fragments, de l'inachevé. Rien ne nous relie plus. Nous sommes nos différences et nos erreurs. Nous ne saurons pas nous pardonner.