14 novembre 2012
Espoir
Vivre, encore et encore, d'innombrables pertes. Des trous de mémoire
A ce cercle dans la cheminée
Trois alexandrins
Moi qui n'ai jamais eu ni enfant ni mari
J'ai cru en m'effaçant ne pas trahir la vie
Et je me suis pendue lorsque sonna minuit
Comprendre enfin que la mort n'est pas celle des mots. Que derrière
Les vers se trouve encore un espoir
De vivre dans son corps
Publicité
Publicité
Commentaires