3 janvier 2013
Encore encore encore
j'ai beaucoup pleuré face à ton absence j'ai décroché de mes doigts les souvenirs
comme on verse son café dans le vide rayé ton nom dans toutes les marges
je n'en ai tiré qu'un profond sommeil tu es devenu le parasite de mes nuits
je n'ai acquis que ma propre disparition chaque soupir cachait ton visage
au fond d'un cercueil transparent tu n'étais plus qu'une voix qui se tait
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